Soucoupe volante, Babas Michelin, boule lumineuse… Nombreux sont les témoignages d’OVNIS à La Réunion. Et vous, des expériences étranges à raconter ?
Le 31 juillet 1968, la vie de Luce Fontaine, un agriculteur, va changer à tout jamais. Il est le premier réunionnais à témoigner d’un Objet Volant Non Identifié (OVNI). Alors qu’il coupe de l’herbe près de chez lui pour nourrir ses lapins, une forte lumière l’interpelle. Luce découvre à une trentaine de mètres un objet ovoïde volant très lumineux. L’objet flotte à près de 5 mètres du sol. Il a à peine le temps de distinguer à travers une des vitres 2 formes humanoïdes portant des casques. Il les décrira plus tard comme “2 Babas Michelin”. La gendarmerie prend au sérieux Luce et décide de mener une enquête. 10 jours plus tard, on retrouve sur les vêtements de Luce, ainsi que sur le site de la supposée rencontre, des taux de radioactivité relativement importants. L’affaire est classée sans suite, mais les “bonhommes Michelin” n’ont pas fini de faire parler d’eux.
Il "tombe nez-à-nez avec “un engin bizarre qui ne touchait pas le sol”.
En 1975, Antoine Severin rentre de son travail et tombe nez-à-nez avec “un engin bizarre qui ne touchait pas le sol”, ainsi que 3 créatures étranges, semblables aux “Babas Michelin”. Il est projeté au sol par un éclair provenant de l'engin. Commotionné, il perd pendant plusieurs jours l’usage de la parole.
En 1985, plusieurs personnes, dont un gendarme, sont témoins d’une sphère brillante en mouvement. Le GEIPAN (Le Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) classe cette observation comme non-analysable.
En 1992, vers 4h30, un témoin est réveillé par un bruit de réacteur. Celui-ci observe une grosse boule lumineuse très vive. Une fois disparue, un brouillard a persisté à l’endroit de l’observation. Un voisin témoigne qu’à la même heure, ses chiens étaient très apeurés…
Aujourd’hui, le GEIPAN regroupe plus de 2932 PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés) à travers toute la France. Si plus de 60% des cas sont plus ou moins identifiés, 3,4% des phénomènes restent inexpliqués, malgré une enquête.